Mon Projet
Pourquoi cette idée ?
Mes parents (mon père, son frère, sa soeur) avaient, il y a quelques décennies, hérité de quelques hectares de peupliers, sur le bord de la Garonne aux limites des département du Tarn-et-Garonne et du Lot et Garonne. Il s’agissait de 12 hectares répartis en 3 parcelles.
Adolescent, pendant nos vacances, nous y allions avec ma famille élaguer nos peupliers, entretenir les terrains. Avec le recul de l’âge, j’ai tenté (modestement) l’expérience d’acheter un terrain, puis un second pour me lancer dans cette aventure de la populiculture (voir https://www.peupliersdefrance.org/n/populiculture/n:1150) et tacher de gérer dans le temps une peupleraie.
Il s’agit d’un investissement de très long terme, sans doute 20 ans, mais très enrichissant qui me rapproche des racines rurales de mes parents.
En dépit des retards dans mon projet et de quelques désillusions, si je pouvais agrandir mon petit terrains, et, à nouveau planter des peupliers, je le ferai sans hésiter.
Je voulais vous faire partager cette aventure.
Où et pourquoi ?
Parisien, j’ai cherché pendant quelques mois un terrain accessible à 1h/1 h 30 autour de Paris.
J’ai choisi Azay le Rideau, magnifique ville à 20 minutes de Tours en voiture après 1 heure de TGV, que je connaissais pour avoir visité deux ou trois fois son château avec mes filles il y a quelques années.
L'investissement
Il est modeste, quelques milliers d’euros pour le terrain (voir par ailleurs), les frais de notaire étant parfois supérieurs au coût du terrain (nous reparlerons de ce point un peu plus loin).
Ce n’est pas un investissement de court terme. Acheter un terrain, planter, entretenir, puis revendre ses bois demande du temps, de la patience. Le but n’est pas de faire une plus value. Il est de diversifier son patrimoine, et surtout connaître de nouvelles expériences, bien éloignées de notre monde un peu trop matérialiste.
Et comme disait Voltaire, il s’agit “de cultiver son jardin”.
Le coût
Vous avez ci-dessous un petit tableau avec les frais que j’ai engagés.
Ce tableau ne comprend pas les dépenses de transport (Paris/Tours/Paris en TGV, location de voiture), ni l’aide précieuse d’auto- entrepreneurs locaux qui m’ont aidé.
Notez que pour les auto-entrepreneurs, vous pouvez bénéficier d’une déduction fiscale grâce au Cesu (https://www.cesu.urssaf.fr/info/accueil.html).
Au total, l’investissement est modéré (pour un hectare). Je ne fais pas de calcul quant à la rentabilité de cet investissement. Il s’agit d’un « investissement » de plaisir, pas de la recherche de plus values.
